Le poids des pains Les poids des pains font-ils l’objet d’une réglementation ? Une baguette doit-elle peser 200 g ou 250 g ? Comment s’effectue le contrôle du poids des pains ? La réglementation du poids des pains En matière de poids des pains, il n’existe pas de texte réglementaire fixant le poids des pains en relation avec telle ou telle appellation. En l’absence de texte, il faut se référer aux usages loyaux et constants du commerce. Souvent, la question porte sur le poids de la baguette et celui de la flûte. Pour ces appellations, il s’avère que les usages varient d’une région à l’autre. Ainsi, dans la région parisienne, l’appellation baguette est attachée à un pain de 250 g et l’appellation flûte à un pain de 200 g. Par contre en Seine-Maritime par exemple, l’usage commercial est inverse, c’est-à -dire que l’appellation baguette correspond à un pain de 200 g et la flûte à un pain de 250 g. En 1981, alors que les prix du pain étaient encadrés par les pouvoirs publics par le biais d’engagement de modération de prix, une recommandation avait été faite pour unifier ces appellations à savoir que la baguette corresponde à un pain de 250 g et la flûte à un pain de 200 g. Cette recommandation n’a guère été suivie et les usages locaux sont demeurés. Ce qui est important, c’est que le poids du pain corresponde à l’étiquetage qui lui est associé afin de ne pas tromper le consommateur. Dans ce domaine, il faut rappeler que les règles d’étiquetage des prix du pain imposent la mention du poids et du prix au kilo du pain pain vendu à la pièce d’un poids supérieur ou égal à 200 g. Le contrôle du poids des pains Dans ce domaine, il n’existe pas de réglementation spécifique aux pains. Les services de contrôles s’appuient donc sur un texte de 1978 relatif au contrôle métrologique de certains pré-emballages. En principe, ce contrôle s’effectue sur un échantillon d’au moins dix pains d’une même catégorie. Chacun de ces pains est pesé et son poids est noté. Il faut ensuite faire la somme des poids relevés et la diviser par le nombre de pains pesés. Cette moyenne doit correspondre au poids annoncé ou affiché. Si le poids moyen est inférieur au poids annoncé, le contrôle porte alors sur l’ensemble des pains de la même catégorie et détermine le poids moyen. Celui-ci ne doit pas être inférieur de plus de 4 g au poids annoncé lorsque celui-ci est compris entre 50 g et 1 kg. Faute de quoi le délit de tromperie sur la quantité des choses livrées au sens de l’article L213-1 du Code de la Consommation serait constitué et pourrait donner lieu à un procès-verbal. Le prix des pains Afin d’assurer une concurrence loyale et une information claire des consommateurs, l’étiquetage des prix du pain est soumis à des dispositions règlementaires précises. Le texte actuellement en vigueur est un arrêté de 1978 l’arrêté n° 78 – 89 P du 9 août 1978 dont l’article 1er précise que les prix de toutes les catégories de pain et des produits de viennoiserie et de pâtisserie fraîche sont librement déterminés par chaque fabricant, boulanger ou dépositaire de pain. Cette liberté des prix du pain fut à partir de septembre 1979 encadrée par une série de dispositifs successifs prix plafonds ; accords d’augmentation ; blocage des prix ; accords de modération, engagement de lutte contre l’inflation jusqu’au 1er janvier 1987 date à laquelle est entrée en vigueur l’ordonnance n° 86-1243 du 1er décembre 1986 qui a restauré la liberté totale des prix. Les articles 2 à 5 de l’arrêté de 1978 fixent des modalités d’étiquetage extrêmement précises. En effet, chaque catégorie de pain exposée à la vue du public, dans tous les points de vente au détail, doit être accompagnée d’un écriteau d’une longueur d’au moins 15 cm et d’une hauteur d’au moins 2,5 cm. Cet écriteau doit être fixé à la base et au milieu de chacune des grilles ou étagères où les pains sont exposés. Sur cet écriteau doit figurer La dénomination exacte de la catégorie de pain, Le poids en grammes pour les pains vendus à la pièce cette mention n’est pas obligatoire pour les pains d’un poids inférieur à 200 g, Le prix de vente à la pièce ou au kilogramme selon qu’il s’agit de pains vendus à la pièce ou au poids, Le prix de vente rapporté au kilogramme pour les pains vendus à la pièce d’un poids supérieur à 200 g. Par ailleurs, une affiche blanche imprimée en noir d’une hauteur d’au moins 40 cm et d’une largeur d’au moins 30 cm doit être apposée dans tous les points de vente au détail à une hauteur maximale de 2 m au-dessus du sol sans qu’un obstacle puisse gêner la vue des consommateurs. Cette affiche a pour titre Prix du Pain » et énumère à raison d’un article par ligne, toutes les catégories de pains mises en vente avec La dénomination précise, Leur poids, Leur prix à la pièce, Leur prix au kg pour les pains vendus à la pièce d’un poids égal ou supérieur à 200 g. La réglementation va jusqu’à préciser la taille des chiffres et des lettres, de cette affiche. Pour le titre, les lettres doivent avoir une hauteur minimale de 2,5 cm et une largeur minimale de 1,5 cm. Pour les textes, les chiffres doivent avoir une hauteur minimale de 2 cm et une largeur minimale de 1 cm ; les lettres doivent avoir une hauteur minimale de 1 cm et une largeur minimale de 0,5 cm. Une seconde affiche similaire à la précédente mais dont les dimensions et celles des caractères peuvent être réduites de moitié doit être apposée en vitrine et être visible de l’extérieur. Cette obligation résulte de l’arrêté n° 78-110 P du 3 novembre 1978. Congélation des produits Enfin, il faut rappeler que dans les établissements qui ne sont pas des boulangeries, si des produits sont vendus décongelés après une opération de congélation intervenue après la cuisson, il faut ajouter la mention décongelé » après l’indication de la dénomination exacte de la catégorie de pain sur l’écriteau placé à proximité des produits. Cette obligation résulte de l’arrêté n° 81-10/A du 10 mars 1981. La plupart des groupements professionnels départementaux peuvent vous proposer des affiches et écriteaux répondant à ces dispositions. N’hésitez pas à contacter votre groupement professionnel départemental
Terrinede campagne en pain de 2,3 kg conditionnée sous vide avec ouverture facile - À conserver au réfrigérateur entre 0 et 3°C - DLC 30 jours Prix au kilo de la terrine de campagne en pain : 9,76 € De la Révolution française aux récents Printemps arabes, l’insécurité alimentaire et l’inflation des prix des denrées de première nécessité ont souvent fait le nid des crises sociales et politiques. En 1789, la reine Marie-Antoinette ne suggérait-elle pas aux Parisiens affamés de manger de la brioche faute de pain ? Apocryphe ou non, cette anecdote confirme le statut particulier du pain en France et l’importance de son accessibilité dans notre société. Une question sensible, sujet à débats…Produit d’appel à prix doux et pains spéciaux plus chers peuvent cohabiter dans une même boulangerie, comme chez Pain Pan ! à Marseille gamme bio de 4,90 à 9 € le kilo. © n°1 Trop cher, le pain ?Au vu de certains tarifs, le pain perdrait parfois son statut de bien populaire et nourricier pour devenir un produit de luxe, réservé à une élite.> Par le passé, le prix du pain a été encadré par des dispositifs réglementaires plafonnement, etc. visant à préserver son accessibilité. Depuis le 1er janvier 1987, une ordonnance a restauré la liberté tarifaire, ce qui a pour conséquence aujourd’hui une grande disparité de prix, avec des pains pouvant dépasser les 15 € du kilo. Une facture trop salée pour certains clients et professionnels du métier.> L’évolution tarifaire de la baguette est un indicateur de référence du pouvoir d’achat. Son prix a bien augmenté ces dernières années, mais moins que ce que l’on imagine. Avant le passage à l’euro en 2002, la baguette était facturée 4,30 francs, soit 0,64 €, pas si loin de son prix actuel. La baguette à 1 franc est en effet un très vieux souvenir… Selon l’Insee, son prix est passé de 1,20 franc en 1960 à 15,32 francs au kilo en 1995 une évolution à pondérer avec celle des revenus des Français.> En boulangerie artisanale, une baguette tradition est vendue environ entre 1 € et 1,30 € en moyenne, une baguette blanche basique aux alentours de 0,90 €, contre 0,45 € en GMS soit 1,80 € le kilo. La grande distribution a également généralisé les offres promotionnelles du type 3 baguettes achetées, 1 offerte », contribuant à creuser le fossé des prix du pain aux yeux des les pains ne se valent pas, tant en termes de coût que de prix. D’où l’importance de la pédagogie en magasin pour justifier ses tarifs auprès de ses clients. © n°2 Certes, mais…Le travail et la qualité ont un prix. Encore faut-il l’expliquer et le légitimer auprès de ses clients.> Le différentiel tarifaire entre un pain industriel et un pain artisanal est justifié par le travail engagé. Fabriquer son pain au levain, avec de longues fermentations et ses propres assemblages de farines, requiert davantage de tests, de temps et de savoir-faire qu’une production industrielle, avec un surcoût à la clé. On essaye d’être au plus juste », note Erwan Blanche, de la boulangerie Utopie Paris 11e, qui en appelle à comparer ce qui est comparable ».> Le prix du pain est également indexé sur les coûts des matières premières. Un pain bio ou à base de céréales anciennes coûtera forcément plus cher qu’un pain blanc lambda. Une réalité valable en métropole comme en outre-mer. En début d’année, France Info rapportait que le prix de la baguette en Guadeloupe, gelé depuis 2009, allait être revalorisé à cause de la flambée du coût du blé.> On observe aussi un différentiel de prix entre Paris et les régions, la ville et la campagne. Des variations à imputer pour partie aux variables concernant les charges fixes, loyer en tête. Des choix écoresponsables, comme faire appel à un fournisseur d’énergies vertes, peuvent aussi avoir un impact sur le budget de son entreprise et donc le prix du pain. À chacun de faire ses arbitrages et de calculer ses marges suivant ses engagements, à valoriser en toute n°3 La voie du milieuEn France, l’augmentation du prix du pain s’inscrit dans une atomisation du marché boulanger qui entraîne une diversification de l’offre et des tarifs, y compris au sein d’une même enseigne.> Point stratégique la constitution de sa gamme, incluant un produit d’appel, financièrement Marseille, Pierre Ragot, de la Maison Saint-Honoré, vend ainsi son pain signature 5,50 € le kilo et pratique des prix plus élevés mais sans excès sur ses références en variétés anciennes, pour une juste rémunération des différents acteurs de la filière », précise l’artisan.> Pour les produits dits de niche, il est possible de proposer de la vente à la tranche, partant du principe qu’un bon pain nourrit mieux qu’une mauvaise baguette. Selon la récente étude QualiQuanti de la FEB, les Français se déclarent d’ailleurs satisfaits à 89 % du prix du pain, ce dernier apparaissant seulement comme le cinquième critère d’achat, loin derrière le goût et la fabrication artisanale.> Sans rogner sur la qualité, d’autres postes peuvent être sources de réduction des coûts, comme une distribution optimisée en circuits courts, des frais réduits en boîtage-emballage ou encore une production au plus près des besoins pour éviter au maximum les pertes… et une boulangerie à deux vitesses. Barbara Guicheteau Painset pâtisseries Glaces Découvrir Découvrir Retour Retirer 1 quantité de Wedges inédites au thym citron du panier 0. Ajouter 1 quantité de Wedges inédites au thym citron au panier 4.1111 sur 5. Légumes pour potage bio le sachet de 600 g. Prix au kilo 3,50 €/kg Prix soldé 2,10 € Ajouter à la liste : Légumes pour potage bio Ajouter au panier : Légumes pourLe prix du porc a atteint son plus haut historique sur les marchés à plus de 2 euros le kilo ce 22 août. - PexelsProduit d'appel du rayon viande, le porc restait une des viandes les moins touchées par l'inflation jusqu'à présent. Mais les cours s'envolent à leur tour depuis quelques mois tirés par une explosion des coûts de production et une offre jambon devrait bientôt nous coûter plus cher. Si les prix de la viande flambent depuis plusieurs mois, c'est principalement la volaille, le boeuf et le veau qui coûtent plus cher. Sur un an, la hausse atteint 10,2% sur boeuf et veau selon l'Insee, 14,6% sur la volaille et 10,5% sur l'agneau. Avec une hausse de 7,3%, la viande de porc était relativement le prix de la charcuterie devrait flamber dans les prochaines semaines. Ce lundi 22 août, le prix du porc a franchi la barre des 2 euros le kilo sur le marché du porc breton à Plérin. Depuis octobre dernier, la hausse sur les marchés est continue. Fin juillet dernier, le porc a battu sur record historique de 1,86 euros le kilo qui datait de mars 2001, une époque où les consommateurs s'étaient rabattus sur cette viande en pleine crise de la vache de crise sanitaire cette année, mais une explosion des coûts avec l'inflation et un secteur en pleine crise. Le porc qui se vendait 1,25 euro le kilo sur les marchés en janvier a depuis pris 60%. Alors que la demande reste soutenue pour cette viande relativement abordable, l'offre elle des éleveurs de porcs menacés"Le recul actuel de l’offre de porcs est un fait marquant à l’échelle mondiale, explique Pascal Le Duot, directeur du Marché du porc breton MPB dans La France Agricole. En France, c’est le résultat de cessations d’activité survenues il y a un an et demi environ, bien avant le déclenchement de la guerre en Ukraine et ses effets sur la flambée des coûts de production."Si le porc flambe à l'échelle mondiale, notamment à cause du marché chinois où la viande porcine s'est envolé de plus de 20% sur un an en juillet dernier, la situation est particulièrement tendue dans l'Hexagone."Les élevages de porcs que compte la France sont dans une situation dramatique, s'alarme l'interprofession Inaporc. 10 % d’entre eux se dirigent aujourd’hui vers une cessation d’activité dans les prochains mois et cette proportion pourrait grimper à 30% selon certaines estimations."En cause, une explosion des coûts de production tirés par l'alimentation animale +25% sur un an. Des coûts que les producteurs échouent à répercuter sur les prix de vente à la grande distribution. Le porc restant un produit d'appel relativement abordable du rayon viande face à la flambée de la viande de boeuf et de la volaille. En janvier dernier, la première opération anti-inflation de Leclerc concernait ainsi la baguette de pain à 29 centimes ainsi que les côtes de porc à moins de 2 euros le kilo.Le porc vendu à perteSelon les professionnels, le coût de production d'un kilo de porc est actuellement de 2 euros le kilo, soit exactement le prix de vente au cours actuel. Autrement dit, les éleveurs ont vendu en dessous de ce coût de production jusqu'à présent."Les éleveurs perdent jusqu’à 40 euros par porc", estime Carole Joliff, secrétaire générale de la Fédération nationale porcine FNP dans L'Action agricole situation qui a poussé de nombreux éleveurs à mettre la clé sous la porte. Le pays qui produit en général 106% de sa consommation domestique de viande porcine pourrait être contraint de se tourner encore plus vers l'importation pour satisfaire la du problème, le gouvernement a lancé en janvier dernier un plan d'urgence pour la filière porcine. Le ministre de l'Agriculture d'alors Julien Denormandie avait débloqué 270 millions d'euros pour soutenir les trésoreries des éleveurs de porcs. Un coup de pouce salvateur qui n'a pas suffi à effacer les pertes de la filière estimées à 440 millions d'euros sur un an par l' la hausse des cours est une bonne nouvelle pour les éleveurs, ces derniers appellent maintenant la grande distribution à faire un geste supplémentaire. Alors que l'alimentation animale devrait encore continuer à augmenter dans les prochaines semaines, le secteur souhaite que les grandes surfaces rognent leurs marges sur le rayon charcuterie, un des plus rentables de la catégorie grandes et moyennes surfaces sont en capacité d'"accorder les hausses nécessaires sans même modifier le prix au consommateur", estime François Valy, le président de la FNP.Letraditionnel pâté de campagne est ici revisité et agrémenté de petits légumes : courgettes, carottes, oignons, pois chiches, champignons. Vous apprécierez ce pâté très gourmand accompagné de belle tranche de pain. Prix au kilo : 22.44 € Réf. 3760072334362 Vous avez craqué pour les pains et pâtisseries chambelland ? A vos fourneaux !Paquets de riz ou de farines au kilo, préparations spéciales pour pains et pâtisseries…autant d’occasions de retrouver la gourmandise chambelland à la maison et faite par vos farines chambellandTrois farines pour cuisiner, pâtisser et boulanger sans farine de riz blancIssus de la seule variété des riz japonica, les grains sont moulus entiers pour obtenir une farine d’excellente qualité, panifiable sans additif chimique. Les grains de riz sont récoltés en Lombardie puis écrasés en Provence au moulin chambelland. la farine de riz completIssus de la seule variété des riz japonica, les grains sont moulus entiers pour obtenir une farine d’excellente qualité, panifiable sans additif chimique. Le son conservé lui confère des qualités nutritionnelles très intéressantes. la farine de sarrasinRiche en fibres et protéines, elle remplace facilement une partie de la farine de blé dans les recettes de pains, biscuits, muffins. Son goût prononcé, typique en fait la farine star des galettes bretonnes, bouquettes liégeoises, chapatis indiens, sobas japonais, pizzocheri italiens… les préparations chambellandPour boulanger sans complexe et avec succès quand on préparation pour pain natureLes secrets et le savoir-faire de chambelland concentrés dans un kilo de farine pour des recettes de pains sans gluten immanquables et remarquables. la préparation pour pain aux grainesLA préparation pour panifier le best-seller* chambelland à la maison. la préparation pour pâtisseriesGâteaux, crêpes, tartes…Une préparation idéale pour réussir toutes ses pâtisseries sans gluten à la maison. les riz chambellandPour cuisiner avec plaisir du sucré comme du blanc japonicaSes grains blanc crème, mats, à l’odeur délicatede foin coupé s’accommodent aussi bien en recettes chaudes que froides risotto, onigiri,sushi, farces, salades composées, riz au lait… riz complet japonicaSes grains blonds dorés, luisants, à l’odeur délicate de foin coupé s’accommodent aussi bien en recettes chaudes que froides onigiri, sushi, farces, salades composées… notre livreA la fois récit d’aventures, traité sur le riz et le pain avec et sans gluten, voyage au cœur des différentes cultures du pain dans le monde et livre de recettes !Une plongée pédagogique et généreuse dans l’univers chambelland, le tout illustré par de magnifiques en ligne la librairie gourmandela librairie ApetiPlace des libraires FnacAmazon Painset pâtisseries Glaces Découvrir Découvrir Retour Retirer 1 quantité de Bol de fruits au sirop passion framboise du panier 0. Ajouter 1 quantité de Bol de fruits au sirop passion framboise au panier 4.125 sur 5. Velouté cuisiné PP,brocolis, fromage frais bio le sachet de 1 kg. Prix au kilo 4,20 €/kg Prix soldé 4,20 € Ajouter à la liste : Velouté cuisiné PP,brocolis Epicerie sucrée en ligne En tant que place de marché en ligne, Pourdebon a sélectionné pour vous les meilleurs producteurs français d'épicerie sucrée pour la qualité de leur travail et de leur approvisonnement. Nous sommes sans doute aujourd'hui la plus grande épicerie sucrée en ligne de France. L'origine, les techniques artisanales de production vous sont toujours clairement expliquées. L'ensemble des produits d'épicerie proposés sont livrés directement par nos producteurs et artisans français. Ce sont eux qui vont préparer votre commande et vous l'expédier directement chez vous à votre domicile, sans aucun intermédiaire.
Painde campagne pomme cannelle . Description du produit . Facile Ajoutez en fin de pétrissage 15 grammes de cannelle par kilo de pâte et é50 grammes de pomme par kilo de pâte. 3. Laissez pointer 30 minutes. 4. Divisez en pâtons de 400g et laissez détendre 30 minutes. 5. Façonnez en boules puis farinez. Fendez les boules en 4, au rouleau. 6. ApprêtDénomination légale du produit Pain surprise au pain spécial campagne surgelé composé de 10 sandwichs au saumon fumé, crème fraîche, citron et ciboulette ; 10 sandwichs préparation tomate mi-séchée et roquette ; 10 sandwichs compotée au coing, bloc de foie gras de canard et fleur de sel ; 10 sandwichs jambon de Savoie, pickles courgette et cornichon ; 10 sandwichs cabécou, fruits secs et miel. Liste des ingrédients Farine de blé [ farine de blé *gluten, gluten de blé], eau*, mélange de farine spéciale 11,9% [farine de petit épeautre* gluten, flocon d'épeautre* gluten, flocon de blé* gluten, farine de seigle complète* gluten, farine de blé* gluten, gluten vital de blé*, levain de blé dévitalisé déshydraté gluten, levain d'épeautre dévitalisé déshydraté gluten, blé malté toasté concassé* gluten, farine d'orge maltée toastée gluten, son de blé gluten], crème fraîche* 5,4% lait, saumon fumé 4,8% [saumon** poissons, sel], jambon de Savoie 4,1% [jambon de porc origine France***, sel, conservateur nitrite de potassium], compotée au coing 3,2% coing* 1,7%, sucre*, pomme*, eau*, amidon de tapioca, jus de citron, bloc de foie gras de canard 3,2% [foie gras de canard 2,8% origine France***, eau*, Armagnac*, sel, poivre, antioxydant ascorbate de sodium, conservateur nitrite de sodium], fromage blanc* 2,5% lait, lait demi-écrémé*, préparation à base de tomate mi-séchée [tomate 1,1% tomate mi-séchée 0,8%, concentré de tomate, huile de colza, sel, origan, sucre, ail], préparation à base de courgette 1,5% courgette grillée 1,1%, huile de colza, jus de citron à base de concentré, sel, ail, basilic, tomate pelée concassée tomate 0,8%, jus de tomate 0,3%, tomate mi séchée tomate mi-séchée 1%, huile de colza, ail, origan, sel, cabécou* 1% contient lait, levure de boulangerie*, fromage frais* 0,9% contient lait, sel*, beurre lait, huile de colza, cornichon au vinaigre* 0,5% cornichon 0,3%, eau, vinaigre d'alcool, sel, amidon transformé de pomme de terre, dé de figue figue 0,4%, farine de riz, farine de blé* gluten, miel 0,1%, jus de citron 0,1%, raisin sec 0,1% raisin, huile de coton, échalote 0,1%, roquette* 0,1%, noisette 0,1%, ciboulette* 0,08%, amande 0,07%, cerfeuil, fleur de sel* 0,01%, poivre. *Issue d'animaux nés, élevés, abattus et transformés en France. *Ingrédient d'origine française. Malgré tout le soin apporté à la préparation de ce produit, la présence exceptionnelle d'arêtes n’est jamais exclue. Produit élaboré dans un atelier qui utilise crustacés, œuf, soja, autres fruits à coques, céleri, moutarde, sésame, mollusques. sKDh.