Pensezà vous connecter sur votre espace membre ou à vous inscrire gratuitement si vous n'avez pas encore de compte afin de bénéficier de toutes les fonctionnalités. GRAND JEU Gagnez 5 lots de 2 places de cinéma pour "Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City" jusqu'au 24 novembre 2021
Le film de Johannes Roberts Resident Evil Bienvenue à Raccoon City dévoile sa bande-annonce. Le nouveau chapitre de la saga Resident Evil nous transporte en 1998. Adaptée de l’emblématique série de jeux vidéo d’horreur remplis de zombies, cette nouvelle adaptation met en Hannah John-Kamen Ant-Man et la Guêpe, Kaya Scodelario Le Labyrinthe, Skins, Robbie Amell Code 8 et Tom Hopper Umbrella Academy, Hitman & Bodyguard 2. Un film sur les origines Le réalisateur Johannes Roberts a présenté en avant-première son projet de film en mars dernier, expliquant » Raccoon City » joue un grand rôle dans le film. Il s’agit de ce groupe de personnes aux styles et aux passés différents . En effet, le film relate l’histoire des secrets du Manoir Spencer et de cette ville qui fut par le passé le siège du géant pharmaceutique Umbrella Corporation ». Après le départ de l’entreprise, Raccoon City est tombé en ruines, et une menace terrifiante est remontée de ses entrailles. Alors que ce mal ne sème que mort et chaos, un petit groupe de survivants va unir ses forces pour tenter de découvrir la vérité sur Umbrella. Cette nouvelle adaptation de la franchise est une origin story dans laquelle on retrouve les événements des deux premiers jeux. Je suis tombé amoureux de Milla Jovovich dans les premiers films, j’aime l’univers de Resident Evil » ajoute Johannes Roberts. Resident Evil Bienvenue à Raccoon City sortira dans les salles le 24 novembre en France. Rendez-vous le 24 Novembre 18

ResidentEvil : Bienvenue à Raccoon City. Film interdit aux moins de 12 ans. Infos. Réalisateur : Johannes Roberts . Acteurs : Kaya Scodelario, Hannah John-Kamen, Robbie Amell, Tom Hopper, Avan Jogia. Nationalité : Allemagne, U.S.A. Genre : Action, Epouvante-horreur. Année de production : 2021. Date de sortie : 24/11/2021. Durée :

Bienvenue à Raccoon City, une ville où tout est parti en vrille. Il va falloit se mettre à l’abris avant d’entreprendre quoi que ce soit. … retour au sommaire La Station-service Après avoir entendu un bruit suspect, rentrez dans la Station-service. Un policier blessé se trouve au fond de la pièce et vous indique l’origine de la menace. Continuez dans le couloir et vous tomberez sur votre premier zombie. Après l’avoir abattu, récupérez la Clé à côté du bureau et ouvrez la porte verrouillée. Après avoir passé la porte, courez vers l’entrée en esquivant les zombies. Vous tombez alors sur l’autre protagoniste. Dans les rues de Raccoon City Après une courte balade en voiture, vous voilà livré à vous-même dans les rues de Raccoon City. N’essayez pas de vous défendre et courez. Repérez une ruelle sur votre gauche et engouffrez-y vous. En continuant, vous allez tomber sur le Commissariat. Allez-y avant de vous faire bouffer vivant. Chapitre suivant Le Commissariat… Sommaire Resident Evil 2 est disponible sur PC, Xbox One/X et PS4/Pro. Achat GoCleCd PC et Amazon PS4/XB1
ResidentEvil 2 est un monument de la Playstation, Capcom remet le couvert avec un remake de haute volée sur PC, PS4 et Xbox ONE pour attaquer 2019 en beauté ! On découvre ensemble ce nouveau
Découvrez l’explication de la fin de Resident Evil Bienvenue à Raccoon City au cinéma ! Resident Evil Bienvenue à Raccoon City est disponible au cinéma ! Si vous souhaitez connaitre l’explication de la fin, lisez la suite ! Resident Evil Bienvenue à Raccoon City ne brise peut-être pas la redoutable malédiction du film de jeux vidéo, mais il regorge d’eastereggs et de références qui plairont certainement aux fans de longue date de Resident Evil qui estiment que certaines des précédentes adaptations de cette franchise sur grand écran se sont trop éloignées du matériau que le réalisateur du film, Johannes Roberts, nous a déjà parlé de son désir de rester fidèle aux jeux, il est vraiment choquant de voir toutes les façons, petites et grandes, dont le film emprunte des personnages, des moments, des répliques et des idées directement aux le film apporte également quelques changements notables à Resident Evil et Resident Evil 2, il est clair qu’une attention bien plus grande a été portée à l’honneur de certains des éléments les plus emblématiques de ces titres d’horreur légendaires. Pour savoir quand une suite verra le jour, lisez ceci. Autrement, on vous dit tout concernant la fin de Resident Evil Bienvenue à Raccoon City !Finalement, Wesker tue Birkin et sa femme avant d’être abattu par Jill Valentine. Oui, au lieu de HUNK, le quatrième survivant » des jeux, c’est Wesker qui tire sur Birkin, et crée ainsi indirectement le monstre de type G. C’est la dernière apparition de Wesker dans le film, jusqu’à la scène de dans Resident Evil 2 », Resident Evil Bienvenue à Raccoon City se termine avec les héros et la jeune Sherry Birkin dans un train cargo d’Umbrella, quittant la ville. Le pilote du Brad Vickers les sauve du toit du manoir après avoir jeté le lance-roquettes qu’ils utilisent pour vaincre le premier est finalement tué par Nemesis dans Resident Evil 3 ». Dans le film, cependant, Brad ne dépasse pas le manoir Il est pris en embuscade par des zombies alors qu’il attendait l’équipe de Wesker. Vraisemblablement dépassé par l’infection du virus T, il pilote son hélicoptère dans le manoir et meurt dans une explosion massive qui tue presque Jill et s’agisse des jeux originaux ou des films de Paul Anderson, le destin de Raccoon City est toujours sombre. Dans Resident Evil Welcome to Raccoon City », la destruction de Raccoon City est présentée de manière quelque peu lieu d’une frappe tactique depuis l’extérieur de la ville, Raccoon City s’autodétruit par une sorte de détonation souterraine. Apparemment, Umbrella a fait en sorte que la ville entière implose en cas d’épidémie, comme un système de sécurité pour contenir toute infection de la scène post-générique Après la fin de Resident Evil Bienvenue à Raccoon City, une brève scène interrompt le générique, montrant le retour d’Albert Wesker. Non, il n’a pas survécu à son assassinat par Jill Valentine. Il a été ressuscité par la mystérieuse bienfaitrice qui lui a ordonné de voler les secrets d’ personne se révèle n’être autre qu’Ada Wong, l’espionne préférée des fans qui a fait sa première apparition dans Resident Evil 2 ». Elle explique qu’elle a ramené Wesker à la vie, et lorsqu’il se plaint que ses yeux sont sensibles à la lumière, elle lui tend une paire de lunettes de soleil et lui explique que c’est un effet secondaire du processus utilisé pour le ramener à la les jeux, on ne voit presque jamais Wesker sans ses lunettes de soleil emblématiques. Le moment où il les reçoit d’Ada, ainsi que le mystérieux sérum, fait de Resident Evil Bienvenu à Raccoon City une sorte d’histoire d’origine pour cette nouvelle version de l’un des méchants les plus populaires de l’histoire du jeu vidéo. Home/ Bande Annonce / RESIDENT EVIL : BIENVENUE À RACCOON CITY Bande Annonce 2 VF (2021) RESIDENT EVIL : BIENVENUE À RACCOON CITY Bande Annonce 2 VF (2021) Les Meilleurs Jeux ? Amorcée en 2002 avec RESIDENT EVIL, la série de films en prises de vue réelles adaptés du jeu vidéo du même nom connaît quinze années de bons et loyaux services. Elles se concrétisent par pas moins de six longs métrages, collaborations entre des studios américain la Major Sony et européens le français Davis Films et l'allemand Constantin film. Ce cycle zombiesque rencontre une réussite commerciale constante. Si le public américain finit par s'en lasser, le succès international reste au rendez-vous. Il est quand même décidé de passer à autre chose après RESIDENT EVIL CHAPITRE FINAL, l'idée de réinitialiser cette saga faisant son chemin. Le britannique Johannes Roberts en reprend la supervision artistique, auparavant contrôlée par Paul Anderson. Il réalise et scénarise donc ce nouveau RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY. Johannes Roberts émerge auprès du public français avec le film de fantômes THE DOOR en 2016, puis avec IN THE DEEP, métrage de requins tueurs. Il confirme avec THE STRANGERS PREY AT NIGHT en 2018, suite tardive de THE STRANGERS qui s'avère un slasher brutal et prometteur. Avec RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY, il met en vedette Kaya Scodelario la jeune nageuse de CRAWL dans le rôle de Claire Redfield et donne à Neal McDonough MINORITY REPORT, CAPTAIN AMERICA THE FIRST AVENGER celui de William Birkin, savant ambigu œuvrant pour la firme Umbrella. Élevée avec son frère Chris à l'orphelinat de Raccoon City, Claire Redfield s'en est enfuie dans sa jeunesse. Elle revient dans cette ville des années plus tard et tente de renouer des liens avec Chris devenu policier. Depuis leur enfance, le grand groupe pharmaceutique Umbrella a quitté la région. Raccoon City a sombré dans le chômage tandis que ses sols sont restés empoisonnés par une pollution chimique tenace. A tel point qu'une alerte sanitaire est lancée le soir du retour de Claire et que Raccoon City se trouve bouclée par d'étranges militaires... Quand il signe son premier RESIDENT EVIL, Paul Anderson met le film de zombies à une sauce relevée de science-fiction technologique et d'action énergique. Un panachage qui fonctionne et apporte au public un équilibre qui lui convient. Avec RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY, Johannes Roberts démarre l'action un peu en amont des événements de RESIDENT EVIL. Et surtout choisit de remettre l'horreur classique au cœur du métrage. Les événements se déroulent entièrement de nuit, nous faisant visiter divers bâtiments emblématiques de Raccoon City, tous dans des états délabrés, cultivant une touche gothique diamétralement opposée à l'ambiance des métrages de Paul Anderson. Commissariat décati, villa abandonnée, orphelinat sinistré et autres installations souterraines obscures constituent la toile de fond de ce métrage, jouant la carte du gore et d'une épouvante très premier degré. Raccoon City est une ville presque désertée, à peine peuplée par quelques policiers et habitants abandonnés à eux-même. Certains commencent à virer au mutant à force de s'abreuver à une nappe phréatique contaminée par les expériences d'Umbrella. Expériences auxquelles le professeur Birkin, installé de longue date à Raccoon City, ne semble pas étranger. Parmi les personnages principaux, Claire et Chris apparaissent dès le prologue comme deux orphelins ayant grandi dans une institution de la ville. En secret, des enfants y servent de cobayes à des essais de laboratoire. Claire parvient à s'enfuir. Mais de quelles expériences parle-t-on ? Dans quelles circonstances Claire s'est enfuie ? Pourquoi son frère n'a pas été soumis à ces expériences ? Autant de questions restant mystérieuses, parmi de nombreuses autres, tant l'écriture de RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY cultive le vague et l'abscons. Film de groupe, il présente superficiellement ses personnages, les éparpillant au gré d'intrigues légères ayant pour seul objectif de caser un maximum de figures, de lieux et de situations emblématiques du jeu. Et tant pis si la cohérence, le rythme et l'intérêt du spectateur s'égarent en route. Et ce d'autant plus que le métrage se trouve desservi par une interprétation démotivée et des dialogues très bas de gamme, comme ceux que s'échangent les policiers au bar local ou au commissariat. Outre des répliques affligeantes, le métrage accumule en plus les situations absurdes, comme ce personnage qui n'est pas réveillé par l'explosion d'un camion citerne à une dizaine de mètres de lui au motif qu'il a un walkman sur les oreilles ! Ce film n'est pas aidé par des moyens manifestement réduits, trahis par exemple au moment de l'assiègement du commissariat par une petite poignée de zombies épars, que Johannes Roberts tente sans succès de faire passer pour une foule plus nombreuse. Lorsqu'un hélicoptère est supposé voler ou un train censé rouler, RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY recourt à des subterfuges économiques qui ne trompent que les spectateurs les plus crédules. Il emploie aussi des trucages numériques de bas niveau, en particulier dans son final ponctué d'explosions grossières. Ou au travers d'un plan gaguesque malvenu à base de vache volante, appelé à rester dans les mémoires pour de mauvaises raisons. Enfin, cultivant son ambiance ténébreuse, RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY s'afflige d'une photographie trop sombre, au grain numérique désagréable et pâteux. Cette approche culmine dans une fusillade pénible éclairée par intermittence au briquet ! RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY revisite le bestiaire du cycle, parfois avec une certaine réussite, certaines mutations réveillant des souvenirs de FROM BEYOND. Mais c'est peu, et ce n'est pas assez pour sauver RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY de son naufrage quasi-total. Mal écrit, mou dans son déroulement et désagréable à regarder avec sa pénombre mal gérée, cette relance à l'économie de RESIDENT EVIL reste bien en-dessous de son potentiel et de son modèle, rejoignant HALLOWEEN KILLS parmi les prolongements inutiles et ratés de séries à bout de souffle. Un parcours de cinéphile ma foi bien classique pour le petit Manolito, des fonds de culottes usés dans les cinémas de l'ouest parisiens à s'émerveiller devant les classiques de son temps, les Indiana Jones, Tron, Le Dragon du lac de feu, Le Secret de la pyramide... et surtout les Star Wars ! Premier Ecran fantastique à neuf ans pour Le retour du Jedi, premier Mad Movies avec Maximum Overdrive en couverture à treize ans, les vidéo clubs de quartier, les enregistrements de Canal +... Et un enthousiasme et une passion pour le cinéma fantastique sous toutes ses formes, dans toute sa diversité. 48 ans 1 news 563 critiques Film & Vidéo 1 critiques Livres Mon compte Se connecter S'inscrire Notes des lecteurs Votez pour ce film Vous n'êtes pas connecté ! Lefilm devrait être un retour aux origines de la célèbre franchise Resident Evil.Ce que le réalisateur (et fan) de la saga aimerait faire passer Jean Roberts est de rouvrir des jeux pour une toute nouvelle génération de fans. Dans Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City, ce qui était autrefois le siège du géant pharmaceutique

24 Novembre 2021 au cinéma Resident Evil Welcome to Raccoon City Resident Evil Bienvenue à Raccoon City De Johannes Roberts - Cinéma Film - 2021 - - Action, Epouvante-horreur 122 vues SYNOPSIS Ce nouveau chapitre de la saga RESIDENT EVIL, situé en 1998, dévoile enfin les secrets du manoir Spencer et de la ville qui fut autrefois le siège florissant du géant pharmaceutique Umbrella Corporation. Depuis le départ de la toute-puissante entreprise, Raccoon City a sombré jusqu’à la ruine, et une menace terrible se terre au plus profond de ses entrailles. Lorsque le mal se réveille en semant l’horreur, un petit groupe de survivants va unir ses forces pour tenter de découvrir la vérité sur Umbrella, en espérant voir le bout de la nuit… AFFICHE & DÉTAILS Resident Evil Bienvenue à Raccoon City Resident Evil Welcome to Raccoon City De Johannes Roberts / Action, Epouvante-horreur Avec Hannah John-Kamen, Kaya Scodelario, Robbie Amell, Tom Hopper Nationalité Américain Année de production 2021 BANDES ANNONCES 239 RESIDENT EVIL BIENVENUE À RACCOON CITY Bande Annonce VF 2021 122 vues • il y a 11 mois

Cest désormais chose faite avec ce "Resident Evil: Bienvenue à Raccoon City" qui, évidemment, gomme tous les errements cinématographiques précédents pour ce concentrer sur une adaptation des deux
Films La franchise de Capcom a droit à un reboot cinématographique, qui se démarque déjà des précédents films, mais sans jamais briller. La mode des adaptations de jeux vidéo au cinéma a vraiment explosé avec Resident Evil, film d'horreur réalisé par Paul Anderson, produit par Constantin Film et mettant en scène Alice, un personnage inédit incarné par Milla Jovovich. Un succès commercial, mais un massacre pour tous les fans de la franchise, les films ont vite oublié les jeux de Capcom pour faire leur vie dans leurs coins. Et voilà que quatre ans après le Chapitre Final, la paire P A et Constantin Film est de retour à la production de Resident Evil Bienvenue à Raccoon City. Cette fois, les producteurs ont changé leur fusil d'épaule, et ce reboot se base réellement sur les deux premiers jeux vidéo de la saga, à savoir Resident Evil Rebirth et Resident Evil 2 le remake, dans le manoir Spencer à Arklay et au commissariat de Raccoon City donc. Derrière la caméra, nous avons Johannes Roberts, habitué des films d'horreur vraiment pas terribles et des 47 Meters Down, un régal pour les amateurs de requins et de sang, mais c'est tout. Alors, que vaut ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City ? Eh bien, pas grand-chose malheureusement, mais tout n'est pas à jeter. Nous n'avons pas passé un trop mauvais moment devant ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City. Le film s'ouvre sur un flashback d'une jeune fille orpheline dans un orphelinat créé par Umbrella. Les scénaristes ne font pas dans la finesse et veulent ici donner de la profondeur à certains personnages, qui en ont en effet bien besoin. Cette jeune fille, c'est Claire Redfield, coincée dans ce lieu lugubre avec son frère Chris pour subir les expérimentations de William Birkin, et dès le début, le fan des jeux vidéo passe par plusieurs émotions. L'enfance des Redfield est rarement abordée dans les jeux, mais en y réfléchissant bien, leurs personnages ne sont vraiment pas caractérisés dans les deux premiers titres de Capcom, il fallait bien le faire ici, et cela fonctionne, moyennement. C'est surtout un prétexte pour éloigner les deux enfants, expliquer la tension qui les anime encore aujourd'hui et installer le personnage de Claire Redfield, la seule à avoir eu droit à un peu d'attention de la part des scénaristes. Si vous connaissez les jeux vidéo, vous n'allez pas vraiment être surpris, même si Resident Evil Bienvenue à Raccoon City prend des risques en mélangeant vraiment les deux jeux, donnant lieu à des rencontres inédites cocasses. La trame de l'histoire suit celles des jeux vidéo, avec bien sûr de gros raccourcis, il fallait bien réunir tous ces personnages et caser l'ensemble dans 1h47 de film. Mais mine de rien, le scénario se déroule sans temps morts, les fans reconnaissent presque chaque séquence sans que cela ne soit trop appuyé, Resident Evil Bienvenue à Raccoon City ne prend pas le spectateur pour un idiot et tente réellement de contenter les joueurs, même si cela est souvent fait de manière très maladroite. Et ça passe notamment par une écriture catastrophique du côté des personnages. Nous l'avons déjà dit, Claire Redfield vole la vedette à tout le monde. Déjà, parce que son personnage est central au scénario et qu'elle est incarnée par Kaya Scodelario Le Labyrinthe, la seule qui ne semble pas issue d'un casting alcoolisé fait après avoir visionné un fan film. Ne crachons pas non plus trop sur Chris Robbie Amell, il a la carrure de l'emploi, mais son personnage reste très sous-exploité, cantonné à Mr Muscle. Jill Valentine est cependant à des années-lumière du personnage des jeux vidéo, devenant ici une femme impulsive, Hanna John-Kamen Black Widow a du mal à faire ressortir les souvenirs des joueurs, préférant donner vie à un personnage nouveau, mais n'est pas si mauvaise. Mais le vrai problème de ce casting, ce sont Leon S. Kennedy et Albert Wesker. Ce dernier est ici moins caricatural que dans les jeux, parfois drôle et même touchant, dépassé par les évènements qui surviennent à Arklay, mais campé par un Tom Hopper toujours à l'ouest dans son jeu, n'arrivant jamais à transmettre la bonne émotion. Et Leon... eh bien, disons que son personnage ne sert absolument à rien dans le film, et qu'Avan Jogia étant le sosie parfait de Carlos Oliviera Resident Evil 3, l'immersion est complètement ratée, allant même jusqu'à lâcher une punch line digne des pires films d'action à la toute fin, bien loin de son rôle de jeune flic novice dans les jeux. Certes, comparer les jeux vidéo au film n'est pas forcément la chose à faire, mais même en ne se focalisant que sur ce long-métrage, les personnages manquent de profondeur, les scénaristes ont voulu caser trop de monde en trop peu de temps, en résultent des caractérisations bien trop rapides et un attachement à ces héros quasi inexistant tout au long du film. Comme les jeux de Capcom, Resident Evil Bienvenue à Raccoon City est vendu comme un film d'horreur, interdit aux moins de 12 ans dans les salles de cinéma françaises, et il faut bien avouer qu'il fait le job, si vous aimez les jump scares prévisibles avec le son qui vous casse les tympans. Johannes Roberts ne fait pas dans la finesse, avec des zombies ou autres éléments qui surgissent d'un coup sur les personnages, c'est de l'horreur pop corn, mais il faut bien avouer que cela fonctionne si vous êtes amateur du genre. Le film aurait également pu être une œuvre gore, si le sang n'étant pas aussi sombre, caché par un éclairage lui aussi peu lumineux. Et pourtant, des morts sanglantes, il y en a, mais pas de quoi choquer les habitués de l'horreur, en film ou en jeu vidéo. Et il ne manque que les monstres... Resident Evil Bienvenue à Raccoon City pioche dans le bestiaire de Resident Evil Rebirth le remake GameCube du premier volet et de Resident Evil 2, avec notamment un Licker furtif, sur-utilisé dans les bandes-annonces, mais finalement peu présent, ne donnant lieu qu'à un combat... improbable, nous n'en dirons pas davantage pour ne pas vous gâcher la surprise. L'occasion de mentionner les effets spéciaux en 3D, qui permettent des animations plus fluides, mais qui manquent encore pas mal de budget pour impressionner les joueurs, habitués aux cinématiques désormais photoréalistes dans les jeux. Et pourquoi parler de RE Rebirth ? Eh bien, parce que Lisa Trevor est de la partie, cette jeune fille au visage caché par la peau du cadavre de sa mère dans le jeu vidéo a ici pas mal de temps à l'écran et arrive à être à la fois effrayante et touchante, comme dans le jeu donc. Pour le coup, c'était une bonne surprise, et cela compense avec les zombies, pourtant centraux dans Resident Evil. Ici, les infectés au Virus-T sont quand même très mal maquillés, ressemblant davantage à des goules malades qu'à des créatures en putréfaction, même s'il est vrai que l'incident est assez récent. D'ailleurs, nous voyons régulièrement la ville de Raccoon City sombrer petit à petit dans l'horreur, une originalité bienvenue et qui montre l'étendue de la catastrophe, pas seulement cantonnée à un manoir dans les montages ou à un commissariat. S'il y a bien un point sur lequel Resident Evil Bienvenue à Raccoon City nous a étonnés, c'est sur sa mise en scène. Le réalisateur n'est pas doué, nous l'avions déjà vu dans les 47 Meters Down, mais il a visiblement été aidé par son directeur de la photographie Maxime Alexandre Crawl, Shazam!, Catacombes et le film nous propose quelques fulgurances, comme un plan-séquence dans une voiture principalement à l'arrêt, mais quand même ou encore l'utilisation d'une double focale, un vieux trucage pour avoir une image entièrement nette malgré deux profondeurs de champ. Pour un film qui ressemble quand même dans son ensemble à un fan movie avec un peu de budget, c'est appréciable, et cela démontre bien un point Resident Evil Bienvenue à Raccoon City essaye de faire des choses. Il tente des idées, ose des mises en scène atypiques, à l'image d'un combat entre Chris et des zombies éclairé au briquet, petit clin d'œil à l'objet des jeux et qui accouche d'une réelle tension, même si l'image alternant entre le noir total et la lumière de la flamme n'arrive pas à sublimer la tentative. Mais le film ne se contente pas de cadrer bêtement ses plans, de filmer des combats nerveux rassurez-vous, aucun coup spécial de kung-fu n'est lâché ici, il ose placer la caméra à des endroits inattendus, soigne son éclairage pour mettre en avant certains éléments comme le manoir d'Arklay et, même si cela reste rare ou maladroit, le spectateur apprécie l'effort. Avouons-le, après avoir souffert pendant des années avec la saga de Paul Anderson, nous craignions d'aller voir ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City, mais finalement, le film se laisse regarder. Il est loin d'être une réussite, l'écriture est globalement ratée à force de vouloir mettre trop de choses dans un seul long-métrage, le casting est vraiment en dents de scie, les effets spéciaux auraient mérité un peu plus de soin, mais grâce à sa mise en scène qui tente des choses et ses nombreuses références aux jeux vidéo, souvent bien utilisées et rarement forcées, nous n'avons pas passé un trop mauvais moment devant ce Resident Evil Bienvenue à Raccoon City. Bon, il y a bien une scène post-générique teasant une suite, mais il ne faut pas trop pousser non plus... Note 2 étoiles sur 5 Si vous voulez un vrai bon Leon S. Kennedy, tournez-vous vers le remake de Resident Evil 2, vendu 24,02 € sur Amazon, 29,99 € à la Fnac ou 19,99 € chez Micromania. Clint008Rédacteur - Testeur
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